La Marina ("La Marine", P. Fort / G. Brassens)
Con letra de Paul Fort y música de Georges Brassens en "La Marine", en la adaptación de J. M. Grande.
AMOR MARINO ("La Marine" G. Brassens)
ADAPTACIÓN: J. M. Grande, 2020)
Abreviando: el devenir
de amor que eterno será
lo podrían resumir
tus pequeños actos quizá...
Es la suerte del marino
y de todas sus amantes:
acercarse, darse un pico,
para después abrazarse...
Alegrías y disgustos,
los enfados y el perdón...
en la corta duración
de amores minúsculos.
Nos reímos, nos besamos
en los ojos, en las manos,
en los senos con amor
como huevos al calor...
Todo ocurre en solo un día
¡y qué largo se hace el tiempo!
más de tres veces lo harían:
contento, triste, contento...
Y en la alcoba hay un olor
de amor tierno y de alquitrán
que te alegra el corazón
o lo apena, qué más da...
No se está para charlar
pero piensas, mientras tanto
que pronto amanecerá:
esa gran calamidad...
Es la suerte del marino
y de todas sus amantes:
acostarse; pero estimo
que nunca será bastante...
Por mucho que pretendamos
correr más que corre el tiempo
y colmaros de pecados
no va a cambiar; sin embargo
llantos, risas y actos tiernos
que te ocupan solo un día
anticiparnos podrían
a los amores eternos.
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VERSIÓN ORIGINAL
La marine
(Paul Fort / G. Brassens)
On les r'trouve en raccourci
Dans nos p'tits amours d'un jour
Toutes les joies, tous les soucis
Des amours qui durent toujours
C'est là l'sort de la marine
Et de toutes nos p'tites chéries
On accoste. Vite ! un bec
Pour nos baisers, l'corps avec
Et les joies et les bouderies
Les fâcheries, les bons retours
Il y a tout, en raccourci
Des grandes amours dans nos p'tits.
On a ri, on s'est baisés
Sur les neunœils, les nénés
Dans les ch'veux à plein bécots
Pondus comme des œufs tout chauds
Tout c'qu'on fait dans un seul jour!
Et comme on allonge le temps!
Plus d'trois fois, dans un seul jour
Content, pas content, content
Y a dans la chambre une odeur
D'amour tendre et de goudron
Ça vous met la joie au cœur
La peine aussi, et c'est bon
On n'est pas là pour causer
Mais on pense, même dans l'amour
On pense que d'main il fera jour
Et qu'c'est une calamité
C'est là l'sort de la marine
Et de toutes nos p'tites chéries.
On s'accoste. Mais on devine
Qu'ça n'sera pas le paradis
On aura beau s'dépêcher
Faire, bon Dieu ! la pige au temps
Et l'bourrer de tous nos péchés
Ça n'sera pas ça ; et pourtant
Toutes les joies, tous les soucis
Des amours qui durent toujours !
On les r'trouve en raccourci
Dans nos p'tits amours d'un jour...
POEMA COMPLETO a cargo de Gabriel Yacoub
L'amour marine (Texto completo)
(Letra: Paul Fort / Música: G- Brassens / Intérprete: Gabriel Yacoub)
On les r’trouve en raccourci,
dans nos p’tits amours d’un jour,
toutes les joies, tous les soucis
des amours qui durent toujours !
C’est là l’sort de la marine
et de toutes nos p’tites chéries.
On accoste. Vite ! un bec
pour nos baisers, l’corps avec.
Et les joies et les bouderies,
les fâcheries, les bons retours,
il y a tout, en raccourci,
des grands amours dans nos p’tits.
Tout c’ qu’on fait dans un seul jour!
et comme on allonge le temps!
Plus d’trois fois, dans un seul jour,
content, pas content, content.
On a ri, on s’est baisés
sur les neunœils, les nénés,
dans les ch’veux à pleins bécots,
pondus comme des œufs tout chauds.
On s’en est allé, l’matin,
souffler les chandelles des prés.
Ça fatigue une catin,
ça n’y est pas habituée.
On s’est r’levé des bleuets,
les joues rouges et l’cœur en joie,
et l’on est r’tourné chez soi,
après un si grand bonheur.
Peu à peu, le cœur en peine,
on s’en est r’tourné chez elle,
en effeuillant sur les blés
une grande marguerite jaune.
La mer !... ah ! elle est là-bas,
qui respire sur les épis,
et mon bateau, que j’y vois,
se balance sur les épis...
On arrive. — Avant d’entrer,
on se r’garde, les bras ronds.
Ça m’fait clic au fond d’mon fond:
elle sort sa petite clef.
Le jour tombe, on reste là.
On s’met au lit, c’est meilleur.
On se r’lève pour faire pipi
dans le joli pot à fleurs.
On allume la chandelle,
on s’ montre dans toute sa beauté!
Vite, on se r’couche, on se r’lève,
on s’étire, — c’est l’été.
Y a dans la chambre une odeur
d’amour tendre et de goudron.
Ça vous met la joie au cœur,
la peine aussi, et c’est bon.
Et l’on garde la chandelle
pour mieux s’voir et s’admirer.
On se jure d’être fidèles.
On s’écoute soupirer.
Et, tout à coup, v’là qu’on pleure,
sans savoir pourquoi, mon Dieu!
et qu’on veut s’tuer tous les deux,
et qu’on s’ravise, cœur à cœur.
Alors, on s’dit toute sa vie.
Ça vous intéresse bien peu.
Mais ça ne fait rien, on s’la dit.
Et l’on croit qu’on s’comprend mieux.
On s’découvre des qualités,
on s’connaît, on s’plaint, et puis,
demain comme il faut s’quitter,
on n’dit plus rien d’toute la nuit.
C’est là l’sort de la marine,
et de toutes nos p’tites chéries.
On accoste. Mais on devine
qu’ ça n’ sera pas le paradis.
On n’est pas là pour causer...
Mais on pense, même dans l’amour.
On pense que d’main il fera jour,
et qu’c’est une calamité.
On aura beau s’dépêcher,
faire, bon Dieu ! la pige au temps,
et l’bourrer de tous nos péchés,
ça n’sera pas ça ; et pourtant
Toutes les joies, tous les soucis
des amours qui durent toujours,
on les r’trouve en raccourci
dans nos p’tits amours d’un jour.
Mais la nuit se continue.
Elle ronfle, la petite poupée,
plus doucement, sur son bras nu,
qu’une souris dans du blé.
Alors, quoi ! faut-y pas s’ plaindre,
ah ! faut-y pas bougonner,
de voir la chandelle s’éteindre
en fondant sur la ch’minée.
On r’garde au mur quelque chose,
qui grimpe jusqu’au plafond...
Ah saleté !... c’est gris, c’est rose...
V’là l’jour rose comme un cochon !
On pleure contre l’oreiller.
Y en avait qu’un pour nous deux.
Ça suffit !... on s’lève... adieu...
On part sans la réveiller.
Mais c’qui est l’plus triste, au fond,
c’est que, pour nous qui naviguent,
les regrets sont aussi longs,
des p’tits amours que des grands.
Et l’on s’demande, malheureux,
quand on voulait s’tuer tous deux,
rester là, s’éterniser,
pourquoi qu’on s’est ravisé ?
VERSIÓN (Texto) de Horacio Cerván
La marine (Paul Fort/ Georges Brassens)
La marina
(Adaptación de Horacio Cerván)
Uno puede resumir
Que nuestros amores breves
Tienen todo el devenir
De un amor que es para siempre
Suerte la del marinero
Y nuestras querida que
abordamos con los besos
Y con el cuerpo también
Está el gozo y el reñir
La discordia y los reencuentros
Todo está en el transcurrir
De estos amores pequeños
Y nos damos en el pelo
En los ojos, y en los senos
Besos plenos, como huevos
Que han sido puestos recién
¡Cuánto que se puede hacer
Y cómo se alarga el tiempo!
En un día, más de tres,
Contento, triste, contento
Y en la pieza hay un olor
De ternura y de alquitrán
Y eso alegra el corazón
Pero lo apena, además
No se viene aquí a charlar,
Pero aún mismo en el amor
Se presiente que es fugaz
Y es una calamidad
Porque así es con la marina
Y nuestras queridas que
Nos aman, más se adivina
Que esto no será el edén
Sería hermoso ¡Dios! Lograr
Que el tiempo fuera más largo,
Y colmarlo de pecados,
Pero esto no pasará
Todo el gozo y el sufrir
De un amor que es para siempre
Uno los encuentra aquí,
en nuestros amores breves.
POEMA ORIGINAL (1)
ResponderEliminarPaul Fort
L’Amour marin
On les r’trouve en raccourci,
dans nos p’tits amours d’un jour,
toutes les joies, tous les soucis
des amours qui durent toujours !
C’est là l’sort de la marine
et de toutes nos p’tites chéries.
On accoste. Vite ! un bec
pour nos baisers, l’corps avec.
Et les joies et les bouderies,
les fâcheries, les bons retours,
il y a tout, en raccourci,
des grands amours dans nos p’tits.
Tout c’ qu’on fait dans un seul jour!
et comme on allonge le temps!
Plus d’trois fois, dans un seul jour,
content, pas content, content.
On a ri, on s’est baisés
sur les neunœils, les nénés,
dans les ch’veux à pleins bécots,
pondus comme des œufs tout chauds.
On s’en est allé, l’matin,
souffler les chandelles des prés.
Ça fatigue une catin,
ça n’y est pas habituée.
On s’est r’levé des bleuets,
les joues rouges et l’cœur en joie,
et l’on est r’tourné chez soi,
après un si grand bonheur.
Peu à peu, le cœur en peine,
on s’en est r’tourné chez elle,
en effeuillant sur les blés
une grande marguerite jaune.
La mer !... ah ! elle est là-bas,
qui respire sur les épis,
et mon bateau, que j’y vois,
se balance sur les épis...
On arrive. — Avant d’entrer,
on se r’garde, les bras ronds.
Ça m’fait clic au fond d’mon fond:
elle sort sa petite clef.
Le jour tombe, on reste là.
On s’met au lit, c’est meilleur.
On se r’lève pour faire pipi
dans le joli pot à fleurs.
On allume la chandelle,
on s’ montre dans toute sa beauté!
Vite, on se r’couche, on se r’lève,
on s’étire, — c’est l’été.
Y a dans la chambre une odeur
d’amour tendre et de goudron.
Ça vous met la joie au cœur,
la peine aussi, et c’est bon.
(2)
ResponderEliminarEt l’on garde la chandelle
pour mieux s’voir et s’admirer.
On se jure d’être fidèles.
On s’écoute soupirer.
Et, tout à coup, v’là qu’on pleure,
sans savoir pourquoi, mon Dieu!
et qu’on veut s’tuer tous les deux,
et qu’on s’ravise, cœur à cœur.
Alors, on s’dit toute sa vie.
Ça vous intéresse bien peu.
Mais ça ne fait rien, on s’la dit.
Et l’on croit qu’on s’comprend mieux.
On s’découvre des qualités,
on s’connaît, on s’plaint, et puis,
demain comme il faut s’quitter,
on n’dit plus rien d’toute la nuit.
C’est là l’sort de la marine,
et de toutes nos p’tites chéries.
On accoste. Mais on devine
qu’ ça n’ sera pas le paradis.
On n’est pas là pour causer...
Mais on pense, même dans l’amour.
On pense que d’main il fera jour,
et qu’c’est une calamité.
On aura beau s’dépêcher,
faire, bon Dieu ! la pige au temps,
et l’bourrer de tous nos péchés,
ça n’sera pas ça ; et pourtant
Toutes les joies, tous les soucis
des amours qui durent toujours,
on les r’trouve en raccourci
dans nos p’tits amours d’un jour.
Mais la nuit se continue.
Elle ronfle, la petite poupée,
plus doucement, sur son bras nu,
qu’une souris dans du blé.
Alors, quoi ! faut-y pas s’ plaindre,
ah ! faut-y pas bougonner,
de voir la chandelle s’éteindre
en fondant sur la ch’minée.
On r’garde au mur quelque chose,
qui grimpe jusqu’au plafond...
Ah saleté !... c’est gris, c’est rose...
V’là l’jour rose comme un cochon !
On pleure contre l’oreiller.
Y en avait qu’un pour nous deux.
Ça suffit !... on s’lève... adieu...
On part sans la réveiller.
Mais c’qui est l’plus triste, au fond,
c’est que, pour nous qui naviguent,
les regrets sont aussi longs,
des p’tits amours que des grands.
Et l’on s’demande, malheureux,
quand on voulait s’tuer tous deux,
rester là, s’éterniser,
pourquoi qu’on s’est ravisé ?
TRADUCCIÓN AUTOMÁTICA
ResponderEliminar(1)
Los encontramos en taquigrafía, en nuestros pequeños amores por un día, todas las alegrías, todas las preocupaciones de los amores que siempre duran .
Esta es la esencia de la marina y todos nuestros pequeños queridos. Atracamos ¡ Date prisa ! un caño para nuestros besos, el cuerpo con.
Y las alegrías y los enfurruños, las molestias, los buenos retornos, hay de todo, en definitiva, grandes amores en nuestros pequeños.
¡Todo lo que hacemos en un día ! y como alargamos el tiempo ! Más de tres veces en un solo día, feliz, no feliz, feliz.
Nos reímos, nos besamos en los recién nacidos, los nenes, en los pelos llenos de becots, puestos como huevos calientes.
Nos fuimos esta mañana para apagar las velas. Cansa a un gato, no está acostumbrado.
Nos levantamos de los arándanos, las mejillas rojas y el corazón de alegría, y volvimos a casa, después de tanta felicidad.
Poco a poco, con el corazón dolorido, volvimos a casa, pelando en el trigo una gran margarita amarilla.
El mar ! ... ah ! ella está allí, respirando en las mazorcas, y mi bote, que veo allí, se balancea sobre las mazorcas ...
Llegamos. - Antes de entrar, nos miramos con los brazos alrededor. Me hace hacer clic en la parte inferior de mi fondo: saca su pequeña llave.
El día cae, nos quedamos allí. Nos vamos a la cama, es mejor. Nos levantamos para orinar en la bonita maceta.
¡Encendemos la vela, nos mostramos en toda su belleza ! Rápido, volvemos a la cama, nos levantamos, nos estiramos, es verano.
Hay un olor a tierno amor y alquitrán en el dormitorio. Te pone en el corazón, el dolor también, y es bueno.
Y guardamos la vela para ver y admirar mejor. Juramos ser fieles. Nos escuchamos el uno al otro suspiro.
(2)
ResponderEliminarY guardamos la vela para ver y admirar mejor. Juramos ser fieles. Nos escuchamos el uno al otro suspiro.
Y de repente, allí lloramos, sin saber por qué, ¡Dios mío ! y los dos queremos matarnos, y nos retorcemos de corazón a corazón.
Entonces hablamos el uno con el otro toda nuestra vida. Te interesa muy poco. Pero eso no importa, nos dijimos. Y creemos que nos entendemos mejor.
Descubrimos cualidades, nos conocemos, nos quejamos y luego, mañana , como tenemos que establecernos, no decimos nada sobre todo por la noche.
No estamos allí para chatear ... Pero pensamos, incluso en el amor. Se cree que de ahora en adelante será de día, y que es una calamidad.
Esta es la esencia de la marina y de todos nuestros pequeños queridos. Atracamos Pero suponemos que no será el paraíso.
No importa cuán apurado, qué, ¡maldita sea ! independiente en ese momento, y llenándolo con todos nuestros pecados, no será eso ; y aun
Todas las alegrías, todas las preocupaciones de los amores que duran para siempre, los encontramos como un atajo en nuestros pequeños amores por un día.
Pero la noche continúa. Ronca, la muñequita, más suavemente, en su brazo desnudo, que un ratón en trigo.
Y que ! No debería quejarse, ¡ ah ! no te quejes, ver la vela apagarse derritiéndose en la chimenea.
Miramos a la pared algo, que sube al techo ... ¡ Ah tierra ! ... es gris, es rosa ... ¡V'là el día rosado como un cerdo !
Lloramos contra la almohada. Solo había uno para nosotros dos. ¡Es suficiente ! ... nos levantamos ... adiós ... Nos vamos sin despertarla.
Pero lo que es más triste, básicamente, es que, para nosotros que navegamos, los remordimientos son tan largos, pequeños amores como grandes.
Y nos preguntamos, infelices, cuándo queríamos matarnos, quedarnos allí, continuar, ¿por qué cambiamos de opinión ?
" Corté estrofas, como en La Marina ... ". Es decir poco. Y la lectura del original demuestra que estos cortes le quitan a L'amour marin su desencanto, y francamente lúgubre (ver la última estrofa). Aparte de esta elección deliberada, las variantes se limitan a dos pequeñas modificaciones de giros y dos permutaciones de estrofas.
ResponderEliminarfffff
LA MARINA
Los encontramos en un atajo
En nuestros pequeños amores por un día,
Todas las alegrías, todas las preocupaciones ¡
Amores que duran para siempre! Este es el destino de la marina
Y todos nuestros pequeños queridos.
Atracamos. Rápidamente ! un pico
Para nuestros besos, el cuerpo con. Y las alegrías y
enfurruñamientos, El enojado, el bien regresa.
Hay todo eso, en fin,
Grandes amores en nuestros pequeños
Reímos, besamos Sobre las ninfas, los nénés,
En el pelo lleno de picotazos, Ponemos
como huevos calientes. ¡Que hacemos en un solo día!
¡Y cuánto tiempo se está alargando!
Más de tres veces en un solo día:
Feliz, no feliz, feliz Hay un olor a
amor tierno y alquitrán en la habitación .
Trae alegría a tu corazón,
El dolor también ... y es bueno. No estamos aquí para hablar ...
Pero pensamos, incluso en el amor,
Que mañana será la luz del día
Y que es una calamidad. Este es el destino de la marina,
y de todos nuestros pequeños queridos.
Atracamos, pero suponemos
que no será el paraíso. Podemos apurarnos, ¡
Hazlo, Dios mío! tiempo libre,
y atiborrándolo con todos nuestros pecados,
eso no será todo; y sin embargo Todas las alegrías, todas las preocupaciones
Amores que duran para siempre,
Los encontramos en un atajo
En nuestros pequeños amores por un día.
L'amour marin es, pues, una colección publicada en 1900, que comienza con un poema del mismo título, que dará La marine. Mientras continuaba leyendo, Brassens se sintió atraído por el segundo poema, titulado The Rope, y le puso música.
En esos años, compartió escenario de las giras “Disc Festival” de los 3 Baudets y Jacques Canetti con Mouloudji, quien era el cabeza de cartel.
Por lo tanto, Georges le ofreció The Rope a Marcel. Éste no lo puso en su repertorio, pero no lo olvidó: mucho después se lo dará a conocer a su hijo, y Grisha lo grabó en 1987. Así que aquí hay una canción que se enmarca tanto en este capítulo, ya que el texto es de Paul Fort (con una pequeña variación), “Canciones para otros” y también “Canciones póstumas”. Para escucharlo, visita un poco a nuestro amigo Pierrot. Y no te quedes atascado en esta cuerda, porque hay mucho por descubrir en My Little Song .
Según relata, se trata, por tanto, del Caballito que Brassens buscaba para conocer a Paul Fort. Pero esta canción tiene otra historia: Jacques Grello, famoso compositor de la época, animó mucho a Brassens, intentando (sin éxito) abrir las puertas de los cabarets donde actuaba, ofreciéndole incluso una guitarra que él había comprado con él. un pago excesivo de impuestos que habían sido reembolsados. Su hija Catherine, de 8 o 9 años, iba a aprender el " Lamento del caballito blanco " para la escuela. Como no pudo hacerlo, Georges le agregó algo de música para facilitar su tarea. Así nació la canción.
Esto es, sin duda, lo que explica por qué hay muy pocas variaciones en comparación con el texto original: el bis , por supuesto, y un “ todos detrás ” que reemplaza a “ ellos detrás ”. Todos tienen la letra de la canción en sus oídos.